Notre époque est marquée par une quête incessante à la fois de notre bien-être personnel et de notre efficacité. À cet égard, le sommeil polyphasique exergue la promesse d’une alternative promettant de transformer la relation que nous établissons entre le repos et la productivité. Imaginez une nouvelle façon de penser le sommeil, qui permettrait à la fois de tirer le meilleur de chaque moment éveillé, tout en améliorant son niveau de bien-être. Cette remise en question de notre bonne vieille et ancestrale nuit de sommeil pour une vie plus équilibrée, c’est le rêve des adeptes du sommeil polyphasique. Dans cet article, nous partirons à la découverte de cette approche du sommeil novatrice en nous plongeant dans ses principes fondamentaux, ses bénéfices potentiels, ses différents schémas d’application, et les défis qu’elle présente. Embarquez avec nous pour un voyage merveilleux à travers les méandres du sommeil polyphasique, et découvrez par quel processus cette méthode pourrait changer, peut-être à jamais, votre façon de dormir et de travailler…
1. La méthode du sommeil polyphasique : présentation et principes fondamentaux
Le sommeil polyphasique se définit comme étant une méthode consistant à diviser ses périodes quotidiennement dédiées au sommeil en plusieurs blocs, à l’inverse du sommeil monophasique qui n’en comporte qu’un seul (pour faire simple : vous vous couchez le soir et vous levez le matin). Plutôt qu’un simple bloc de sommeil nocturne, le sommeil polyphasique comporte donc au moins 2 blocs (par exemple, une nuit de 6 heures couplée à une sieste de 20 minutes). L’objectif est d’avoir un sommeil de meilleure qualité dans le but de dormir moins, et donc de gagner du temps. Cette approche est fondée sur une optimisation du sommeil par l’étude des de ses cycles. Pour rappel, lorsque nous dormons, nous alternons différentes phases de sommeil par cycles de 90 minutes. Or, ces cycles ne sont pas identiques les uns aux autres : tendanciellement, on observe en effet que, au fur et à mesures que les cycles se suivent, les phases de sommeil paradoxal sont de plus en plus brèves. Ainsi, le sommeil apparait comme étant beaucoup plus efficace et réparateur au début d’une période d’endormissement, justifiant le fait de multiplier les blocs de sommeil plutôt que de n’en prolonger qu’un seul.
2. Une énergie optimisée et une productivité accrue
Ceux qui l’ont adopté rapportent que le sommeil polyphasique n’a, malgré la diminution du temps de sommeil global dans la journée, pas impacté leur niveau d’énergie. Au contraire, certains rapportent même être moins fatigués que d’antan, grâce à un repos plus efficace, et des périodes de sommeil régulières. Le sommeil polyphasique, s’il permet une meilleure récupération, permet donc un meilleur investissement au travail, et donc une productivité améliorée. De plus, cette réduction du temps de sommeil permet de libérer un temps précieux pour se consacrer à ses propres activités. Il est par exemple possible d’accroitre son investissement dans une passion, et de développer son réseau social, ce qui permet d’améliorer son niveau de bien-être général. Le sommeil polyphasique permet ainsi d’améliorer son bien-être tout en boostant sa productivité. Toutefois, aucune étude n’a pour l’instant démontré les effets bénéfiques d’un sommeil polyphasique adopté sur le long terme.
3. Différents schémas du sommeil polyphasique
Étant donné que le terme « sommeil polyphasique » désigne littéralement un sommeil divisé en plusieurs phases au cours d’une journée, il existe donc une multitude de schémas de sommeils polyphasiques différents. En voici quelques exemples :
Biphasique siesta: Comprend une longue période de sommeil nocturne (6 heures) et une sieste de 20 minutes en journée.
Everyman : Comprend une courte période de sommeil nocturne, et plusieurs siestes de 20 minutes réparties le long de la journée. Il peut se subdiviser en plusieurs catégories :
Everyman 1 : 4h30 de sommeil et 2 siestes de 20 minutes.
Everyman 2 : 3h de sommeil et 3 siestes de 20 minutes.
Everyman 3 : 1h30 de sommeil et 4 siestes de 20 minutes.
Uberman : Le plus radical des schémas, se constitue de 6 siestes de 20 minutes réparties uniformément tout au long d’une journée de 24 heures.
Ces différents schémas offrent différentes possibilités pour corréler un sommeil polyphasique à nos besoins, et en tenant compte de nos propres contraintes professionnelles et familiales.
4. Précautions et défis liés à l’adoption du sommeil polyphasique
L’adoption du sommeil polyphasique est difficilement associable au mode de vie de notre société. En mettant en place un sommeil polyphasique au schéma Uberman par exemple, attendez-vous à vivre une grande partie de vos journées la nuit (tandis que le reste de la société est endormie), et à devoir aller vous coucher toutes les 4 heures environ (rendant difficile toute activité de sociabilisation). Cette déconnexion avec le reste de la société peut donc avoir un effet pervers sur le bien-être, alors même que le sommeil polyphasique est supposé l’améliorer. Par ailleurs, les recherches sur les effets à long terme du sommeil polyphasique sont encore limitées, et les risques sur la santé pour les personnes les plus fragiles demeurent peu connus. Il semblerait qu’il soit difficile de tenir un schéma plus complexe que le sommeil biphasique ou Everyman 1 dans la durée sans ressentir un état de fatigue profond. Par conséquent, il est recommandé de consulter un professionnel de santé avant de mettre en place un tel mode de vie, et d’être attentif aux potentiels signaux de fatigue et de détérioration de la santé au cours de l’expérience.
5. Nos conseils pour essayer le sommeil polyphasique
Passer d’un sommeil monophasique à polyphasique n’est pas si simple. Il est en effet au début possible de ressentir une grande fatigue, liée à la perturbation du cycle circadien, notre horloge biologique interne. Voici donc 5 conseils pour une transition tout en douceur :
Parmi ceux présentés supra, sélectionnez un schéma adapté à vos besoins et à votre mode de vie.
Prévoyez une période d’adaptation de plusieurs semaines pour permettre à votre corps de recaler son rythme circadien. Évitez donc les activités sportives ou intellectuelles trop extrêmes durant ce laps de temps.
Respectez strictement les horaires fixés préalablement de vos siestes pour ne pas tomber dans un faux rythme et prendre de mauvaises habitudes de sommeil.
Créez un environnement propice à un sommeil optimal, avec une obscurité et un silence total, ainsi qu’une température de la pièce réglée entre 16°C et 18°C (si cela peut paraitre froid, il s’agit en fait de la bonne température pour correspondre à notre rythme circadien, car le corps refroidit pendant la nuit).
Consultez régulièrement un professionnel de santé pour surveiller votre état de santé et votre bien-être.
Et maintenant ?
Cette découverte du sommeil polyphasique nous a offert, tout au long de cet article, un aperçu captivant d’une méthodologie de vie nouvelle, qui pourrait bien durablement accroitre notre productivité et améliorer notre bien-être. À l’heure où l’humanité essaye, par l’étude des neurosciences, de changer ses habitudes solidement ancrées pour repousser sans cesse les limites de son potentiel et optimiser l’efficacité des actions menées au cours de sa vie, le sommeil polyphasique apparait comme étant une option tout à fait séduisante, bien qu’il ne constitue pas pour le moment une solution universelle adaptée à tous.
Maintenant que vous êtes devenu un expert sur le sommeil polyphasique, n’hésitez pas à en parler autour de vous et à partager cet article avec votre entourage. Après tout, qui sait ? Peut-être inspirerez-vous d’autres personnes à explorer cette approche et à repenser leur propre sommeil, leur permettant la mise en place d’un mode de vie plus audacieux…
La méditation est une arme efficace pour booster notre sérénité intérieure. Malheureusement, souvent perçue comme de la pure spiritualité par ceux qui ne la prennent pas au sérieux, elle est souvent délaissée, elle ainsi que ses pouvoirs transformateurs sur le psychisme. Voici donc 4 pouvoirs transformateurs de la méditation qui justifient entièrement sa pratique régulière.
1. La réduction du stress et de l’anxiété
La méditation permet, avant toute chose, de réduire le stress et l’anxiété. Elle permet en effet de prendre du recul sur ses émotions et de mieux les observer sans jugement. Au lieu de nous laisser envahir par le stress, nous développons a contrario notre capacité à rester calme et serein, ce qui permet de mieux appréhender les défis de la vie. Un exercice de méditation bien connu pour palier à ces problèmes d’angoisse est celui de la pleine conscience. Elle consiste à prendre pleinement conscience de l’instant présent, à en explorer les sensations, et à le vivre de manière bienveillante. Une étude réalisée en 2013 et publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry montre ainsi une réduction significative des symptômes d’anxiété chez ses participants ayant pratiqué la méditation de pleine conscience pendant une période de 8 semaines.
2. L’harmonie émotionnelle
L’un des fondements de la méditation est de ne plus s’identifier aux émotions que nous ressentons, mais plutôt de les considérer comme de simples visiteurs temporaires que nous sommes chargés d’accueillir et d’observer. Ce travail permet d’acquérir une maturité émotionnelle, et ainsi de mieux comprendre nos émotions, de les accepter, et de les exprimer de manière saine et constructive à la progression de notre vie. A ce titre, la méditation aide à atteindre une certaine harmonie émotionnelle. Ainsi, des exercices de médiation tel que la pleine conscience aident à réduire les pensées négatives et à adopter un état d’esprit plus positif et serein. De plus, elle favorise des vertus telles que l’empathie, la compassion ou la tolérance envers soi-même et les autres : autant de qualités indispensables pour cultiver notre sérénité intérieure et se sentir mieux.
3. L’amélioration de la qualité du sommeil
Vous le savez sûrement : les soucis du quotidien sont la source d’un stress qui peut être nocif à la qualité du sommeil. Nuits agitées, cauchemars, insomnies… Les exemples de perturbations nocturnes liées à l’anxiété ne manquent pas. Et bien, avec la méditation, il vous est possible d’y remédier ! En apprenant à calmer son esprit et à se détendre par la méditation, l’endormissement devient un jeu d’enfant, et le sommeil s’en voit d’autant plus réparateur, comme le révèle une étude publiée en 2015 par le Journal of the American Medical Association.
4. Le renforcement de la résilience
Un dernier enseignement de la méditation est celui du lâcher-prise. Consistant à accepter ce que nous ne pouvons pas changer et incitant à se concentrer sur les éléments que nous sommes en capacité de maîtriser pour une approche de la vie qui s’inspire du stoïcisme de Sénèque, elle est donc une aide précieuse pour développer notre résistance face aux aléas remuants de la vie. Le but de cette philosophie ? Reconnaitre nos limites, les accepter, et ne plus résister inutilement face aux évènements incontrôlables, résistance qui nuit à notre bonheur. Le lâcher prise permet donc de vivre plus sereinement aux rebondissements et aux changements, permettant ainsi une plus grande adaptabilité dans les situations difficiles. Attention toutefois à ne pas tomber dans un déterminisme extrême : sur certains points, vous gardez le contrôle de votre vie !
Alors, convaincus par la méditation ? Des exercices comme le yoga sont un bon moyen de s’initier à la méditation : c’est désormais à vous de jouer !
Vous allez vous marrer, mais aujourd’hui c’est la journée internationale du rire. Depuis 2003, cette journée se déroule le premier dimanche du mois de mai en France.
Seulement, il est plus que recommandé de ne pas rire qu’un petit jour par an, mais bien tous les jours ! Alors si vous avez du mal à toujours prendre la vie du bon côté, il existe le yoga du rire !
Encore inconnu il y a quelques années, cette pratique est aujourd’hui très courante. Il faut dire qu’elle est très accessible, il vous suffit de rire aux éclats et votre séance est réussie. Outre son accessibilité, il est prouvé que le rire apporte de nombreux bienfaits.
Petite histoire du yoga du rire :
La pratique du yoga du rire n’est pas très ancienne. Cette thérapie voit le jour au milieu des années 1990, en Inde, dans l’esprit du Dr Madan Kataria. Voyant la multitude de bienfaits que le rire peut nous apporter, il a alors l’idée d’en faire une thérapie. Son but ultime : apporter la paix dans le monde grâce au rire. Ambitieux, mais terriblement prometteur !
C’est alors que naît le premier “club de rire” le 13 mars 1995 dans un parc de Mumbai.
Le phénomène devient vite une méthode thérapeutique très répandue. Près de 30 ans après son lancement, le yoga du rire est implanté dans 115 pays aux quatre coins du monde !
Bien sûr la France n’échappe pas à la règle. Le yoga du rire s’est bien intégré dans l’hexagone. La preuve en est la création en 2012 de l’Institut Français de Yoga du Rire.
Quels sont les bienfaits de cette thérapie ?
Il existe de nombreux avantages au yoga du rire. Aussi bien sur le plan physique que psychique, on peut vous assurez que vous ne ressortirez pas indemne d’une séance de yoga du rire !
Renforcement musculaire : Et oui, glousser ça muscle ! N’avez vous jamais eu mal aux abdos en riant ? C’est totalement normal, lorsque l’on rit, les abdominaux, et même le diaphragme sont constamment sous tension.
Évacuation du stress : Au moindre rictus, notre corps libère des endorphines. Ces hormones atténuent la production d’adrénaline, et diminuent le stress. C’est pourquoi il est conseillé aux sportifs de réaliser une petite cure de rire avant chaque compétition, histoire de laisser la pression aux vestiaires.
Atténuer les douleurs : C’est encore la sécrétion d’endorphines lorsque l’on rigole qui va atténuer la douleur. D’un point de vue général, les endorphines améliorent l’humeur du patient.
Booster sa confiance en soi : Pour beaucoup, il est difficile de briser la glace, et rire en est une bonne manière. C’est pourquoi le yoga du rire est très utile en entreprise, afin de souder ou de rapprocher les équipes.
Renforcement des défenses immunitaires : Le taux d’anticorps augmente lorsque l’on rigole, en particulier au niveau du nez et des voies respiratoires. Ce léger renforcement permettrait néanmoins d’éloigner quelques maladies cardiovasculaires.
Où et comment pratiquer le yoga du rire ?
Après tout ce qu’on vient de vous apprendre sur le yoga du rire, vous avez sûrement envie de découvrir cette thérapie magique.
Et ce qui est génial avec cette thérapie, c’est que vous pouvez la pratiquer partout, et surtout avec tout le monde.
Par petit groupe, posez-vous dans un petit parc, un petit lieu sympa, et pratiquez. Le point fort de cette pratique c’est son accessibilité !
Si jamais même entre potes, dans des lieux sympas, vous n’arrivez pas à rire, il existe des professionnels. Vous pourrez en contacter un bon nombre sur Lyon.
Et pour les plus curieux d’entre vous, Pure Media vous informe qu’une grande rencontre entre pratiquants et professionnels du monde du yoga du rire se tiendra ce dimanche 7 mai à l’occasion de la journée mondiale du rire à Margency, aux abords de Paris.
Sur ce, encore bonne journée du rire ! 😃
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Qu’il soit rouge, noir ou blanc, le radis présente de multiples bienfaits. Ce légume de la famille des crucifères (on en apprend tous les jours !) peut aussi être cuisiné sous de nombreuses formes. Alors Pure Media vous dresse le portrait de cet aliment, étonnant.
Les avantages du radis
D’après de nombreuses études, ce légume croquant, et craquant, présente de nombreux bienfaits, alors, les voici :
Faible apport calorique : Saviez-vous que le radis contenait seulement 14 kcal pour 100g. Un apport calorique étonnamment bas, dont il ne faudrait pas se priver dans le cadre d’une alimentation équilibrée. De plus, le radis est une bonne source de protéines.
Prévenir le cancer : Plusieurs études ont démontré que la consommation régulière de légumes de la famille des crucifères, tel que le radis, le navet, le chou, le brocolis… préviendrait les risques de certains cancers. C’est le cas des cancers du poumon, du rein ou encore des ovaires.
Une meilleure santé cardiovasculaire : Une consommation régulière de crucifères réduirait le risque de complication cardiovasculaire. Le radis protégerait aussi du cholestérol et du glucose sanguin.
Système digestif : Les racines et les feuilles de radis permettraient une meilleure motilité intestinale. De plus, les fibres contenues dans le légume favoriseraient le bien-être digestif et le transit intestinal.
Mémoire : Dernier avantage du radis et pas des moindre. La consommation de radis permettrait de ralentir le déclin cognitif.
Le radis dans tous ses états !
Quelques idées de recettes !
Maintenant que l’on a vu toutes les vertus de ce légume, reste à savoir comment le cuisiner !
Niveau salade, une petite salade d’épinards aux pamplemousses et aux radis, c’est vrai que ça donne envie.
Pareil pour la recette de radis rôtis au thym, on en a l’eau à la bouche chez Pure Media. Pour 4 personnes, il vous suffit d’acheter une grosse botte de radis, 2 branches de thym et 40 grammes de sel. Ensuite les étapes pour faire la recette sont :
Rincez les radis, équeutez-les et coupez-les en rondelles.
Rincez les radis, équeutez-les et coupez-les en rondelles.
Mettez-y les radis à dorer une dizaine de minutes avec le thym effeuillé.
Poivrez, vérifiez l’assaisonnement et servez sans attendre.
Et voilà, votre recette de radis rôti est prête, il ne vous reste plus qu’à vous régaler !
La soupe de radis peut aussi être une belle initiative avec ce super ingrédient qu’est le radis.
De manière générale, le radis peut s’associer à un bon nombre de plats. Son croquant, son piquant et ses bienfaits nutritionnelles feront de lui un super allié pour vos plats !
Alors, maintenant que vous savez tout sur le radis, on vous laisse foncer en acheter, et le consommer, sans modération !